Une photo d'inconnus ! - Elle nous vient de la succession de Marie Thérèse Hugo - une cousine de mon arrière grand-mère Cora Duplan. Date-t-elle des années 1880, les Familles Hugo & Duplan à Libourne? Catherine Hugo et son mari ou futur mari Jean Émile Duplan, ses frères Gaston Hugo & Saint Clair Hugo, d'autres frères Duplan? Cela restera un mystère... Nous y voyons une certaine ressemblance avec notre grand-mère et la femme au centre de la photo (le haut des yeux) – Alors peut-être Catherine Hugo. Du côté d’Hélène, ils ont trouvé une certaine ressemblance entre Gustave et le 3ieme homme en partant de la gauche – donc peut-être Jean Émile Duplan……
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mercredi 16 octobre 2013

CATHERINE HUGO 1856-1887

Ces deux photos ne sont pas datées - mais certainement entre 1880-1887


Mon « arrière arrière » grand-mère Catherine Hugo, fille de Didier Hugo & Catherine Grandet. Elle épousera Jean Émile Duplan. Ils auront une fille Cora Duplan (mon arrière grand-mère). Elle n'est pas morte à Caracas et encore moins enterrée là comme cela fut raconté dans la famille Vidal, mais à Bas Obispo, un chantier d’excavation au beau milieu du Canal de Panama le 6 août 1887.
(Source acte de mariage de Cora Duplan & Numa Vidal Reims 1907) - Acte de décès de Catherine Hugo Panama 6 aout 1887).

Selon l'acte de décès, elle ne semble pas être morte dans un des hôpitaux de la Compagnie Universelle du Canal de Panama. Il est curieux de noter que Jean Duplan est attachée au service de la société des travaux publics et constructions. Cela n'a aucun lien avec ses activités en France avant 1883 et celles qu'il aura ensuite après 1887.


Le lieu de sépulture de Catherine Hugo restera certainement inconnu. Le taux de moralité ayant été élevé parmi les européens, il y eu un rapide manque de place dans les cimetières - des cercueils étaient revendus d'occasion ! La fin des travaux du Canal nécessita le déplacement de certains cimetières et enfin suite a la faillite de la Compagnie Universelle du Canal de Panama, un jugement autorisa la destruction d'archives.
Ube piste a creuser, les deux personnes qui ont fait la déclaration de décès au consulat: Mathieu Vinciguerra & Emile Huttinot.

Jean Duplan rentrera en France dès la fin du mois d'août 1887. Etait-il seul? encore avec sa fille Cora âgée de 6 1/2 ans. Mystère autour de Gustave Duplan son fils et selon la famille Vidal demi frère de Cora. Mais a la lecture de l'acte de mariage de Cora Duplan & Numa Vidal, Gustave Duplan est site comme frère germain et en 1907 âgé de 22 ans - donc une date de naissance autour de 1885. Catherine Hugo est encore vivante a cette date.

A compléter…..

Voila a quoi ressemblait Bas Obispo



Source http://gallica.bnf.fr/

LA BRANCHE DUPLAN



MÉRIGNAC - LA TESTE DE BUSCH - ARCACHON – LIBOURNE – CARACAS – PANAMA – BAS OBISPO – REIMS – BRUXELLES - ANDERLECHT


 Pour le moment, nous sommes remontées au mariage de Louis Duplan & Jacquette Rafin ou Raffin  le 31 janvier 1797 dans la ville de Mérignac (Église Saint-Vincent), Gironde.

Louis Duplan exerce la profession de vigneron, l’aéroport de Mérignac n’est pas encore dans les projets  mais à moins de 6km du Domaine Clarence Dillon - Château Haut Brion !

Ils auront un fils Méric Duplan, né le 29 janvier 1807 à Mérignac. Très peu d’archives départementales de la Gironde étant numérisées et accessibles en ligne,  je n’ai pas effectué de recherches sur la fratrie.

Le 13 Septembre 1836, Méric Duplan épouse Marie Cravey dans la commune de La Teste de Buch (futur Arcachon), Gironde.

Leurs enfants :
° Jean Duplan (Paul), le 3 septembre 1837
° Julie Duplan, le 20 avril 1840
° Catherine Duplan, le 12 février 1842
° Marie Duplan ou Joseph Duplan, le 10 février 1847 (incohérence sources Bigenet et TD)
° Charles Duplan, le 1 novembre 1850
° Jean Duplan, 1 septembre 1853


A compléter....


NB  en bleu notre ascendant en ligne directe (hommes)



La Vieille Église Saint-Vincent a déjà passé plusieurs fois l’épreuve du feu. En 1853, un incendie accidentel réduit la partie nord-est en cendres ; en 1997, un coup de foudre ébranle le clocher. De nouveau frappée par la foudre dans la nuit du 28 au 29 août 2001, la plus ancienne des églises mérignacaises (12ème siècle) est gravement endommagée par un incendie. Une partie de la toiture et de la charpente part en fumée. Utilisée comme école au début du siècle puis comme atelier par les services techniques de la ville, la vieille église avait déjà connu bien des péripéties. Après sa première réhabilitation, le lieu fut dédié aux expositions (Source site web Mairie de Mérignac)



Le Cimetière de l’église Saint-Vincent ne semble plus exister.
Enfin le grand nombre d'ossements découverts en position secondaire au sud du mur, à proximité immédiate de celui-ci, laisse supposer qu'une partie du cimetière est détruite lorsque la parcelle perd son usage funéraire avec l'implantation successive de plusieurs bâtiments au XIXe siècle. (Source : Rigeade Catherine)