MÉRIGNAC - LA TESTE DE BUSCH - ARCACHON – LIBOURNE – CARACAS – PANAMA –
BAS OBISPO – REIMS – BRUXELLES - ANDERLECHT
Pour le moment, nous sommes remontées au mariage de Louis Duplan & Jacquette Rafin ou Raffin le 31 janvier 1797 dans la ville de Mérignac (Église Saint-Vincent), Gironde.
Louis Duplan exerce la profession de vigneron, l’aéroport de
Mérignac n’est pas encore dans les projets mais à moins de 6km du Domaine
Clarence Dillon - Château Haut Brion !
Ils auront un fils Méric Duplan, né le 29 janvier 1807 à
Mérignac. Très peu d’archives départementales de la Gironde étant numérisées et
accessibles en ligne, je n’ai pas
effectué de recherches sur la fratrie.
Le 13 Septembre 1836, Méric Duplan épouse Marie Cravey dans
la commune de La Teste de Buch (futur Arcachon), Gironde.
Leurs enfants :
° Jean
Duplan (Paul), le 3 septembre 1837
° Julie
Duplan, le 20 avril 1840
° Catherine
Duplan, le 12 février 1842
° Marie Duplan ou Joseph Duplan, le 10 février
1847 (incohérence sources Bigenet et TD)
° Charles Duplan, le 1 novembre 1850
° Jean Duplan, 1 septembre 1853
A compléter....
NB en bleu notre ascendant en ligne directe (hommes)
NB en bleu notre ascendant en ligne directe (hommes)
La Vieille Église Saint-Vincent a déjà passé
plusieurs fois l’épreuve du feu. En 1853, un incendie accidentel réduit la
partie nord-est en cendres ; en 1997, un coup de foudre ébranle le clocher. De
nouveau frappée par la foudre dans la nuit du 28 au 29 août 2001, la plus
ancienne des églises mérignacaises (12ème siècle) est gravement endommagée par
un incendie. Une partie de la toiture et de la charpente part en fumée.
Utilisée comme école au début du siècle puis comme atelier par les services
techniques de la ville, la vieille église avait déjà connu bien des péripéties.
Après sa première réhabilitation, le lieu fut dédié aux expositions (Source
site web Mairie de Mérignac)
Le Cimetière de l’église Saint-Vincent ne semble
plus exister.
Enfin le grand nombre d'ossements découverts en
position secondaire au sud du mur, à proximité immédiate de celui-ci, laisse
supposer qu'une partie du cimetière est détruite lorsque la parcelle perd son
usage funéraire avec l'implantation successive de plusieurs bâtiments au XIXe
siècle. (Source : Rigeade Catherine)
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